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Lorsque vous voyagez en avion, vous vous retrouvez au-dessus des nuages, c’est-à-dire que plusieurs kilomètres vous séparent à ce moment de la terre. Ce genre de conditions est susceptible d’occasionner des difficultés pour la santé de certains passagers, en fonction de l’organisme : c’est le mal de l’air. Comment le soigner donc ?
A quoi est dû concrètement le mal de l’air ?
Visiter un blog sur les transports vous permettra de savoir que lorsque l’avion est en plein vol, la pression barométrique décroît. Pour que les passagers disposent de la quantité d’oxygène nécessaire, du gaz se répand. Aussi, au moment du décollage de même qu’à l’atterrissage, la pression varie radicalement. Par ailleurs, en passant d’un pays à un autre en quelques secondes, l’avion assujettit chaque passager à un décalage horaire, parfois brusque. A chacune de ces situations, les organismes réagissent différemment.
Comment se manifeste le mal de l’air ?
Selon chaque organisme, le mal de l’air peut se manifester différemment. Pour certaines personnes, le mal de l’air pourrait se traduire par des nausées, accompagnées ou non de vomissements. Pour d’autres, ce sera un intense vertige, un ballonnement ou alors une déshydratation subite. Pour une troisième catégorie de personnes, des maux de tête peuvent survenir. Quelques personnes porteuses de lentilles de contact ont exposé des irritations d’yeux. Un
Comment se prémunir du mal d’air ?
Dans le cas des troubles d’audition générés au décollage ou à l’atterrissage, il est recommandé de mâcher du chewing-gum ou d’avaler fréquemment de la salive ou des aliments. L’avantage est que ce faisant, la caisse de votre tympan s’emplit d’air. Pour les longs trajets (plusieurs jours de voyage), vous devriez de temps à autre vous lever pour vous dégourdir les jambes. Vous éviteriez ainsi le syndrome de la classe éco, c’est-à-dire la formation de caillots de sang dans les jambes, susceptibles de vous créer une embolie du poumon.